samedi 10 janvier 2009

Le communisme est juif

D'après nos agences de presse, ce qui semble avoir le plus vexé nos Juifs canadiens, c'est qu'à Toronto on aurait distribué des feuilles portant les mots "Le communisme est juif".

Pourquoi s'offusquer de cela? "Le communisme est juif", mais c'est la plus grande vérité du siècle, la seule vérité en ce qui concerne le communisme.

Le communisme est d'esprit juif, d'invention juive, de fondation juive, d'organisation juive, de financement juif, de propagation juive, de direction juive.

Le communisme est une maladie dans notre civilisation occidentale, et le judaïsme est le microbe porteur de cette maladie.

Le communisme est une Barbarie en guerre contre la Civilisation.

Le communisme est un Messianisme matérialiste juif, déchaîné contre le Messianisme spiritualiste chrétien.

Vouloir combattre la tuberculose en ignorant délibérément la bacille de Koch serait de la sottise. C'est pourtant ce qu'ont fait nos docteurs, nos "intellectuels", nos grands bavards qui se sont levés comme champions professionnels de l'anticommunisme. Plus ils ont combattu le communisme en fermant les yeux sur son origine et ses causes, plus le communisme a fait de progrès. Ils voulaient paraître des messieurs respectables, des gens "très comme il faut", ils craignaient l'épithète "antisémite" ou la diffamation personnelle, et ils n'ont réussi qu'à aider l'ennemi en lui faisant de la réclame "par suppression de la vérité". Certains, qui dénonçaient la malaria avec éloquence, qui baissaient pieusement les yeux devant les tourbillons de moustiques injecteurs de la maladie, qui accordaient leur première charité aux moustiques dans l'ardent désir de les voir abandonner leur nocivité, ont fini par prendre eux-mêmes la maladie; et quelques-uns d'entre eux, à leur tour sont devenus transmetteurs de fièvre paludéenne. Le judéo-communisme n'a pas besoin de dépenser des sommes folles, chez nous, pour répandre son esprit; il a à son service, gratuitement, des contagieux qui répandent la fièvre partout où ils s'agitent. Leur nom est légion.

Dans "Marxisme et Judaïsme" (La Revue de Paris, juillet-août 1928), Saluste a clairement établi comment le communisme a été incubé, en Allemagne dans les cercles sionistes. Juifs d'argent et Juifs révolutionnaires ont toujours cheminé ensemble, s'appuyant les uns sur les autres, pour amener leur révolution sociale, qui partout et toujours ne profite qu'aux Juifs, tout en dépouillant les Gentils de leurs valeurs spirituelles et matérielles. Les Juifs de la finance dénoncent, avec autant d'ardeur que les Juifs révolutionnaires, les anticommunistes de tous les pays, qu'ils se nomment Pétain ou Laval, Franco ou Salazar, Degrelle ou Mosley, Domville ou Ramsay, MacArthur ou McCarthy, DIem ou Tshombé, Chiang-Kai-Shek ou Verwoerd. La concordance de milliers d'articles, dans les journaux sous contrôle sioniste et judéo-communiste, le démontre amplement.

D'ailleurs, les Juifs de la haute finance internationale et les Juifs des internationales prolétaires (Capital et Travail) ont toujours travaillé à l'unisson pour établir le communisme et combattre les anticommunistes. C'est de l'histoire aveuglante qui s'est passée sous nos yeux.

Ce semble être une contradiction, un paradoxe, car nombreux sont ceux qui se demandent comment il se fait que les Juifs du capital international peuvent aider les Juifs des internationales prolétaires, puisque celles-ci dénoncent le capitalisme, prêchent l'abolition ambassadeur de France, avait posé la même question à un richissime banquier juif de New York, à Budapest, en 1919.L'ambassadeur donne la longue réponse du capitaliste juif international dans son livre "Genève contre la paix". En résumé, cette réponse du Juif équivaut à ceci: la révolution ne détruit pas la propriété, elle la fait changer des mains. Et comment les Juifs ont accaparé les biens des Russes fut expliqué plus tard, en 1937, par l'ambassadeur soviétique Téodor Butenko, rappelé de Bucarest à Moscou pour être "liquidé", mais qui sauva sa peau en s'enfuyant à Rome.
Le banquier milliardaire Jacob Schiff, de New York, qui avait financé la première révolution ratée de 1905 en Russie, s'est vanté plusieurs fois que "sans l'argent des banquiers juifs, Lénine et Trotsky n'auraient pas réussi leur révolution". Son fils a repris la vantardise, et il a été question de $20 ou $70 millions pour la seule contribution de Schiff.

Dans son livre "The Life of Lord George Bentinck", le Très Hon. Benjamin Disraéli, Juif, premier ministre d'Angleterre, parle de cette alliance des ploutocrates et de agitateurs juifs en vue de la révolution. Il dit qu'à la tête de chacune des organisations révolutionnaires subversives "se trouvent des hommes de race juive". Quel est leur but? Disraéli répond: "Parce qu'ils veulent détruire cet ingrat christianisme, qui leur doit même son nom et dont ils ne veulent plus supporter la tyrannie". Il ajoute, quelques pages plus loin, en parlant de la Commune de 1848, tentative de révolution communiste qui a ravagé les grandes capitales européennes: "Sans les Juifs ces insurrections n'auraient jamais eu lieu".

Dans ses articles écrits pour le "Sunday Herald", de Londres, en 1920, Winston Churchill attribue la fondation, la direction, l'établissement et la propagation du communisme aux Juifs, et il affirme qu'en cela il y a collusion entre le Sionisme et la Juiverie révolutionnaire.

Après avoir dépensé près de $4 millions en recherches à travers le monde pour se renseigner, Henry Ford 1er publia la même chose dans son magazine "The Dearborn Independent". Il découvrit même que les causes de la première guerre mondiale étaient liées directement aux desseins, aux décisions et aux manœuvres de la Haute Juiverie. Les révélations de M. Ford faillirent conduire sa vaste entreprise à la banqueroute, par la contre-offensive des grands banquiers juifs. Les Juifs se plaisent à dire que Henry Ford a tout répudié. Affreux mensonge encore! C'est son secrétaire Harry Bennet qui, craignant pour la survie de la compagnie, profita d'une absence de Henry Ford pour imiter sa signature, sur une rétraction préparée par le Juif Louis Marshall, de New York, Bennet lui-même a raconté les causes et circonstances de cette indiscrétion, depuis une série d'articles. Quan à Ford, il ne démordit jamais de ce qu'il avait publié. (Ce mensonge des Juifs ressemble à l'autre de leur propagande, qui répète que les tribunaux suisses ont, en 1936, statué que le document appelé "Les Protocoles des Sages de Sion" était un faux. La propagande juive néglige, par légère inadvertance sans doute, de dire qu'en fin d'octobre 1937, le tribunal suisse de la plus haute instance cassa le jugement de 1936 avec des considérants peu flatteurs pour le petit juge et sa procédure. C'est ce que, chez les occidentaux chrétiens, on appelle "mensonge pas omission de la vérité").

François Coty, fondateur de la parfumerie qui porte son nom, fit enquête de son côté et publia dans ses journaux "Le Figaro" et "L'Ami du Peuple", de Paris, à peu près les mêmes choses que Churchill et Ford. Le grand journal anglais "The Morning Post", de Londres joignit ses conclusions à celles de ses confrères américains et français. Tout cela se publiait en 1920. Dès 1918, le gouvernement britannique avait publié un Livre Blanc affirmant dans sa première édition, que le communisme allait se propager dans le monde entier s'il n'était pas immédiatement écrasé dans l'oeuf parce que c'était "un mouvement de Juifs qui voulaient changer pour leur profit l'ordre mondial des choses". La "Morning Post" mettait, en exergue de ses articles, la question suivante: "Avons-nous échappé à la paix germanique uniquement pour tomber dans la paix judaïque"?

Les services de l'American Intelligence, les correspondants de nombreux journaux en Russie, les diplomates étrangers à Petrograd et de nombreux observateurs sur place, ont publié à profusion le rôle presque exclusif des Juifs dans l'avènement du bolchévisme en Russie, de même que les indescriptibles horreurs qui s'y passèrent lorsque les circoncis supplantèrent les baptisés à la direction du pays.

Pourtant, quand Lénine et Trotsky firent leur usurpation politique d'octobre 1917 (presque au même instant, la Vierge de Fatima prévenait le monde des ravages que la Russie pourrait infliger à l'humanité), c'est à dire une démocratie qu'ils s'attaquèrent, à une démocratie dirigée par le Juif Kérensky.

Quelque part sont conservés les journaux juifs du temps, journaux de tous pays et de toutes nuances judaïques. Ces publications (1917 à 1919) rapportent que, dans tous les cercles juifs et toutes les synagogues du monde entier, ce furent des frénésies d'allégresse, une véritable hystérie de triomphalisme, lorsque Lénine et Trotsky s'emparèrent du pouvoir sur des monceaux de cadavres chrétiens, puis ensuite à chaque décret antichrétien et antioccidental. Pour égarer les chrétiens timorés ou 'nonos', la propagande juive nous a dit que si le communisme est arrivé, c'est à cause du maréchal allemand Ludendorf, qui permit à Lénine de passer de Suisse en Russie, dans un wagon de fret plombé. Les mêmes Juifs oublient de nous dire qu'à ce moment-là, en Allemagne, le Juif Albert Ballin était pratiquement dictateur des chemins de fer et de toutes autres communications, comme ministre dans le cabinet de Bethmann-Hollweg. Même en admettant comme vérité 'totale' la propagande juive, comment expliquer que le Juif Léon Trotsky alias Lauba Braunstein, comparse Lénine, prisonnier dans un camp d'internement canadien à Kapuskasing, puis prisonnier dans la forteresse navale canadienne de Halifax, N.-E., ait pu traverser la mer infestée de sous-marins allemands, traverser l'Europe Alliée, l'Europe Ennemie et rejoindre Lénine juste en temps pour la révolution bolchéviste d'octobre 1917? Là-dessus, la propagande juive est d'un mutisme hermétique, de même que les...autorités canadiennes et alliées! C'est à se demander si les chefs "inconnus" de la Triple Alliance et de la Triple Entente, dirigeant d'un même centre, ne s'entendaient pas comme larrons en foire pour implanter le Communisme triomphant sur les ruines et les morts de tous les belligérants. Comme a écrit le Juif Benjamin Disraéli: "Le monde est gouverné par de tout autres personnages que ne se l'imaginent ceux qui ne sont pas dans la coulisse"! Et aussi: "En politique, tout n'est que race" (In politics, all is race).

On peut se demander aussi comment il se fait que 485 Juifs de l'East Side de New York ont pu, en même temps que Trotsky, traverser l'océan, les territoires alliés et les territoires ennemis, pour se trouver à Petrograd et Moscou au moment opportun. Ces Juifs américains, dont les noms et occupations ont été publiés tant et plus, sont devenus les commissars ou dictateurs de l'Union Soviétique en 1917, formant 80% du personnel en haute autorité.

Pour que ces étrangers devinssent la nouvelle tête de la Russie, il fallait couper l'ancienne tête. C'est pourquoi il y eut de si grands massacres, accompagnés de tortures d'un raffinement inouï. De nombreux auteurs, dont certains témoins visuels, ont raconté ces horreurs dans leurs livres. Résumons-les.

De 1917 à 1919, les Juifs au pouvoir, Trotsky, Lénine (demi-juif, marié à la juive Kroupskaya), Staline (demi-juif, marié à la juive Kaganovitch), Radek, Sverdlov, Bela-Kun, Yacoubovitch, Alphand (richisime banquier) Kamenev, Lourie, Schichtler, Lander, Kaufman, Schmidt, Lilina (juive née Knogissen), Zinonev, Anvelt, Spitzberg, Goukovski, Volodarski, Ouritski, Steinberg, Fenigstein, Savitch, Zaslovski et leurs centaines de comparses juifs, firent assassiner ou mourir par torture, sur le territoire de toutes les Russies et en Ukraine, les têtes de goyim qu'ils voulaient remplacer par leur tête juive.

En voici le tableau:
Torturés et tués par le bolchévisme juif:
L'empereur, l'impératrice, le prince et les princesses, et toute la noblesse qu'on put atteindre;
48,000 archevêques, évêques, prêtres, moines, religieux et religieuses;
10,000 (environ) professeurs d'universités, de séminaires et du secondaire;
8,800 médecins;
54,850 officiers de l'armée russe;
240,000 sous-officiers de l'Armée russe;
10,500 fonctionnaires de police (provinciale et municipale);
48,500 membres de la Gendarmerie Impériale;
344,000 intellectuels, anciens échevins, maries, députés de tous les partis non-bolchéviques;
815,000 fermiers et paysans qui ne voulaient pas consentir à la confiscation sans rémunération de leurs terres;
192,000 ouvriers qui voulaient rester libres;
et un nombre plus grand encore de citoyens russes de tous milieux et de toutes catégories, qui s'opposaient à la saisie de leurs biens par l'État (industriels, marchands, importateurs, exportateurs, propriétaires de boutiques et d'échoppes, rentiers, détenteurs de débentures, obligations, billets promissoires, actions, stocks et autres titres de toutes sortes).

Au fur et à mesure que se développa le communisme en Russie, les massacres de chrétiens par les juifs (surtout en Ukraine catholique, sous Kroutchev) continuèrent, au point que l'on estime aujourd'hui à quarante millions d'êtres humains assassinés (indépendamment des morts causés par les guerres), le nombre des innocentes victimes du judéo-communisme en URSS. Après la deuxième Guerre Mondiale, quand le judéo-communisme, grâce aux concessions de Roosevelt et Churchill à Yalta, pénétra en Bulgarie, Roumanie, Pologne, Esthonie, Latvie, Lithuanie, Yougolslavie, Hongrie, Tchécoslovaquie, Albanie, Allemagne, les massacres de non-juis chrétiens atteignirent les mêmes proportions que dans la Russie de Lénine et Trotsky, et comme par enchantement, dans tous ces pays-là, le hasard voulait que le pouvoir politique fût aux mains de Juifs plutôt qu'aux mains de nationaux du pays. Ne parlons pas de la Corée Rouge, de la Chine Rouge et autres lieux qui nous intéressent de moins près.

Qu'est-ce que le communisme?

Qu'est-ce donc que le communisme, sur l'autel duquel on a immolé et on immole encore tant de victimes?

Le communisme, c'est le socialisme.

Faites venir de l'ambassade soviétique, à Ottawa, ou de Moscou, une copie de la constitution de l'Union Soviétique, et jugez par vous-même.

Dans le nom de l'Union des Républiques Soviétiques Socialistes, des autres républiques ou territoires qui en dépendent directement, les titres de chapitres, les définitions de l'État, du régime, du système, ect., vous pourrez compter au moins deux cent quarante fois les mots socialiste ou socialisme. Le mot communiste, par contre, n'apparaît que deux fois dans cette constitution, comme qualificatif du parti politique de... l'État socialiste. Le parti communiste a pour unique but de lutter pour l'instauration de l'État socialiste, du régime socialiste, du système socialiste.

Et, de fait, tous les partis communistes ou socialistes au monde se réclament des mêmes ancêtres, ont les mêmes prophètes (Marx, Engels, Lasalle), la même doctrine, les mêmes slogans, la même haine de la bourgeoisie (banquiers nationaux, industriels nationaux, commerçant nationaux, propriétaires de fermes ou d'immeubles nationaux). Jamais, au grand jamais, ces communistes et socialistes (c'est la même chose à des stages de développement différents) ne parlent contre les banquiers internationaux, les cartels et monopoles internationaux (aux mains des Juifs) parce que ces 'prolétaires' internationaux sont eux-mêmes des internationalistes.

Le socialisme-communisme de Karl Marx, prophète juif de tous les Gauchismes, est tout simplement une anticivilisation, une barbarie, en autant que notre monde occidental-chrétien est concerné. En réalité pratique, ce Gauchisme socialiste-communiste abouti avec l'extrême gauche, à nier tous les postulats de notre civilisation traditionnelle.

Le communisme est une négation totale de:
Dieu,
l'âme humaine,
un monde dans l'au-delà,
la Révélation,
la nécessité de religion,
la morale révélée, éclairant la morale naturelle,
les droits sacrés de la famille,
la propriété privée,
l'initiative personnelle,
la libre entreprise,
le marché libre.

En regard de ces négations formelles par le communisme (socialisme marxiste), la civilisation chrétienne occidentale oppose des affirmations positives et constructives de ces réalités et nécessités.

Qu'est-ce que le communisme, anticivilisation ou barbarie d'esprit juif, en opposition aux affirmations de notre civilisation occidentale, propose pour les remplacer? Rien sauf la terreur comme on l'applique aux animaux, l'État-prison où tout le monde est égal dans la pauvreté et l'animalisme, et d'où il ne peut s'enfuit sans recevoir une balle dans le dos.

On en revient donc, avec cette formule des Juifs Marx, Engels et Lasalle, à la formule que l'homme en général applique aux animaux qu'il a domestiqués ou qu'il combat.

Les animaux, qui n'ont pas d'âme, n'ont pas besoin de religion, de vie de famille, de propriété privée ou d'initiative personnelle. On les utilises à son gré, on les tue même au besoin pour les mangers. Il n'y a pas de morale entre l'homme et les animaux. On ne dit pas : « J'ai volé le lait de la vache, j'ai volé les oeufs de la poule ». Les animaux ont été créés pour le service et l'enrichissement de l'homme.

Toutes les négations de l'anticivilisation judéo-communiste, de la barbarie marxiste, sont dans le parfait esprit du Talmud. Elles s'adressent à ces bêtes, ces animaux sans âme que sont les goyim, les Gentils. Il n'est pas surprenant que, durant les années 20 et 30, le célèbre grand-rabbin libéral Stephen-S. Wise, de New York, se plaisait à répéter: « Some call it communism, I call it judaism ». (Certains l'appellent du communisme, moi je l'appelle du judaïsme). Pas surprenant, non plus, que tant de publications juives aient si souvent reproduit que le haut idéal du communisme concorde parfaitement avec le haut idéal judaïsme, et aient acclamé Karl Marx comme le « second Moïse » qui doit conduire les Juifs dans la terre promise des temps modernes.

Si tant de prêtres, de religieux et de prédicants chrétiens-occidentaux ont été assassinés, torturés, emprisonnés. « suicidés », malmenés jusqu'à la mort dans des camps de concentration soviétiques sous la férule judéo-communiste, on n'a pas encore pu lire le nom d'un seul rabbin qui ait été le moindrement vexé ou ennuyé par la même barbarie. Si tant de temples orthodoxes, catholiques et protestants ont été transformés par le judéo-communisme en entrepôts, musées antireligieux, salle de danse, maisons de prostitutions, casernes, cinémas, théâtres, écoles d'athéisme, etc., on n'a pas encore entendu parler d'une seule synagogue profanée par la même barbarie. Si tant de calices, ciboires, ostensoirs, patènes, mitres et crosses, crucifix, chandeliers, missels, ex-votos ont été raflés ou détruits par les judéo-communistes, on n'a pas encore entendu parler de pareilles déprédations concernant le Talmud, les shofarim (cornes de béliers), l'étoile de Sion, les chandeliers à sept branches ou les boîtes sacrées contenant les résidus de circoncision pour expédition à Jérusalem afin que ces résidus soient enterrés en Terre Saine. Bien au contraire, pendant que les enfants de l'Ordre et du Baptême périssaient par dizaines de milles dans les tortures, les Rabbins de Soviétie adressaient leurs félicitations et leurs voeux au gouvernement judéo-communiste, et les Rabbins d'Occident revenant de « pieux pèlerinages » dans cette judéo-soviétie ont rapporté, dans profusion de journaux juifs, avec des hossannas de joie, le sort privilégié de leurs congénères raciaux-religieux en cette terre bénie du Sanhédrin.
Pourquoi me gênerais-je de le répéter, puisque tant de publications juives l'ont publié avant moi? Il y a ça, voyez-vous, que les Juifs ont le droit de se le dire entre eux, mais pas nous les Gentils!
Il y a une chose que je dois admettre: c'est que le judéo-communisme est terriblement et scrupuleusement logique avec ce qu'il enseigne: « La religion est l'opium du peuple », « Il n'y a pas de Dieu ni d'au-delà », « La propriété privée c'est le vol », ect. ect. C'est donc une nécessité de détruire les oeuvres positives de tous les postulats chrétiens-occidentaux. S'il n'y a pas de Dieu et tout ce qui en découle, alors la religion est une fumisterie, ses membres et ses temples sont une imposture, une perte d'argent et de temps. Qu'y a-t-il de plus logique?

Par ailleurs, la civilisation christo-occidentale ne semble plus avoir de logique, probablement parce que tant de ses chefs ont avalé et digéré les sophismes des Juifs orientaux et non-chrétiens, qui se sont glissés dans cette civilisation. D'elle-même, parce que les Juifs le demandent et qu'elle veut leur plaire, cette civilisation se sécularise, se laïcise, se socialise, se judaïse, se communise, se matérialise. Au lieu de combattre son mortel ennemi, elle se penche vers lui avec un sourire faux et grimaçant; comme une bête terrorisée, elle copie, elle singe, elle accepte ses manières, dans son espoir de colombe blanche qui ne veut pas être avalée par le serpent.

Sur notre terre il n'y a aucun plan qui soit parfait, lorsqu'il est traduit en réalité humaine. Il s'y produit toujours des failles ou des lézardes.

Le judéo-communisme de Marx & Cie ne considérait le bétail sans âme des Gentils que comme des animaux. On sait que les animaux n'ont ni vie religieuse, ni vie intellectuelle, ni vie culturelle. Ils n'ont que la vie économique: vivre et se reproduire, c'est-à-dire manger, se gîter, se défendre contre le froid, la chaleur, les intempéries, les ennemis, et faire des petits.

Il est arrivé que ça ne marchait plus sur les roulettes, c'était « kapout » au paradis des travailleurs. C'est bien beau le « bien commun », « la communauté » forcée, mais lorsque tout le monde y travaille pour tous les autres sans avoir jamais sa chance personnelle d'avancement, le « stakanovisme » disparaît bien vite et chacun cherche à se procurer le plus possible en travaillant le moins possible, en produisant le moins possible puisque ce n'est pas pour soi. On s'est aperçu que l'être humain a quelque chose de plus que les animaux qui vivent en société, comme les abeilles et les fourmis. Il a son « moi » qui en fait une personne, un être qui se situe au centre du monde puisque tout le reste du monde est autour de lui. Même au paradis rouge des judéo-communistes, le « moi » humain semble incapable de se soustraire à l'état mélancolique et nostalgique décrit par Lamartine:
« Borné par sa nature, infini dans ses voeux,
L'homme est un dieu tombé qui se souvient des cieux. »

Et même au paradis rouge, catastrophique au point que l'on défie souvent la mort pour s'en évader, le bétail sans âme Gentil a gardé cette chose que ses maîtres juifs n'ont jamais pu et ne pourront jamais détruire: l'ambition personnelle, ce ressort, ce moteur de toute vie humaine.
Tous tant qu'ils sont, les hommes sont ambitieux, soit en rêve soit en action. Là où le Talmud et ses Juifs se sont trompés, c'est lorsqu'ils ont ignoré cette vérité fondamentale, dans leur aveuglement de considérer les non-juifs comme des animaux, des « non-hommes ».

Tous les hommes ont de l'ambition de connaissances, de grandeur, de puissance, de célébrité, etc. Même le saint est un ambitieux qui, contrairement à l'avare qui accumule pour ce monde, accumule une richesse pour l'autre monde par ses prières, ses dévouements, ses sacrifices. Chacun rêve ou cherche à être mieux et plus demain qu'aujourd'hui, d'une façon ou d'une autre. C'est ce qui fait qu'il est une homme, plus qu'un simple animal. Que les Juifs talmudistes ne l'aient pas encore compris, c'est ce qui m'étonne le plus, c'est surtout ce qui les étonnera eux-mêmes, quand la compression qu'ils imposent à l'humanité non-juive éclatera avec une violence comme l'histoire humaine n'en a encore jamais connue. On a voulu détruire chez les Gentils le respect de toutes les autorités imaginables: parentale, religieuse, policière, judiciaire, enseignante, civile, gouvernementale, militaire, royale et toute autre. Quand l'anarchie ainsi semée et répandue éclatera, cela signifie qu'aucune de ces autorités ne pourra arrêter la furie des foules aveugles qui se lanceront contre... les auteurs mêmes de l'anarchie, exactement comme on l'a vu à Harlem, Jersey City, Brooklyn, etc., l'été dernier, lorsque des nègres en délire se sont attaqués violemment à ceux qui avaient soulevé ces mêmes nègres. Les éternels poseurs à la persécution, qui sont les éternels semeurs de discorde, le comprendront-ils jamais?
Tout récemment, les Juifs du monde entier ont crié à la persécution de leurs congénères en Russie Soviétique. Que s'est-il passé? Il y a un an et demi, Krouchtchev, pour plaire à ses maîtres judéo-communistes (car aucun dictateur communiste n'est autre chose qu'un pion des vrais possesseurs de la Russie Rouge), ordonnait aux savants soviétiques de lancer une nouvelle vague d'athéisme, de guerre contre Dieu. Car, malgré tout ce que le Talmudisme juif impose là-bas aux Gentils non-juifs, ce... « méchant Dieu » des Gentils remonte toujours à la surface.
Les philosophes athéologues et « penseurs »(?) de Soviétie, bien soumis aux ordres d'en-haut, se lancèrent dans de savantes divagations et ratiocinations, à qui mieux mieux, contre Dieu, Son existence, Sa réalité. Ces chevaliers du matérialisme absolu devinrent du jour au lendemain, sur commande, des « experts » en spiritualisme, sans se soucier du rôle ridicule qu'ils jouaient dans l'espoir de se mériter des « honneurs et des décorations ». Ils scribouillèrent contre Dieu et toutes les religions imaginables, ce qui fut jugé très bien, excellent. Mais les « savants » de l'Académie de Kiev, en Ukraine soviétique, eurent la malencontreuse idée de choisir le Judaïsme comme thème, et ils publièrent (à l'instar de leurs confrères des autres Académies ayant 'promulgué' contre les autres religions chrétienne, mahométane, bouddhiste, ect.) un opuscule intitulé « Le Judaïsme sans embellissement ». Ces grands savants tapaient sur le sacré et sacro-saint Talmud des maîtres juifs!

Ce fut, dans l'univers entier, un tollé mondial de réprobation, un cri désespéré contre une nouvelle persécution. Pensez donc: les savants soviétiques de partout avaient hautement mérité en attaquant, avilissant et salissant toutes les religions des Gentils, mais les savants d'Ukraine (ex-catholique) s'étaient rendus coupables de blasphème et profanation en osant toucher à la tradition et la doctrine des Pharisiens! Quel sacrilège, quel crime impardonnable! Oser attenter à l'enseignement de ceux que Jésus a appelés « serpents, race ce vipères, tombeaux blancs remplis de charogne, menteurs, hypocrites » et autres noms!

Krouchtchev en tomba du pouvoir. Car, ne l'oubliez jamais, avec les judéo-communistes, c'est toujours une raison religieuse qui amène la chute d'une homme. Staline tomba après avoir accusé des médecins juifs de trahir leur serment d'Hippocrate pour empoisonner des hauts dirigeants, que « la tribu » jugeait hostiles à ses intérêts judaïques immédiats. Jésus fut condamné à mort pour cause religieuse (blasphémateur) par le Sanhédrin, qui ensuite exigea l'exécution de sa sentence pour cause civile (ennemi de César).

Adrien Arcand, À bas la haine! page 55 à 71

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